Ni la traversée de la rade pour les genevois, les élargissements d’autoroutes pour les rhônalpins et suisses, ni toutes les nouvelles infrastructures envisagées dans la région ne modifieront vraiment la mobilité et ses encombrements, si simultanément la démographie augmente fortement.
La réflexion sur ce thème doit être fondamentalement différente en abordant les modes de vie, les composantes sociales, économiques, environnementales, agricoles et culturelles. Il ne s’agit pas de se transformer en doux rêveurs, mais au contraire de façonner avec réalisme une vision porteuse de bien-être et d’équilibre entre la nature et les humains.